Il n’est pas rare qu’un divorce soit prononcé d’un commun accord et que les parties n’aient plus qu’à remplir les formalités administratives et à les soumettre au tribunal. Parfois, les parties engagent ensemble un avocat pour s’en charger, et parfois elles préparent elles-mêmes les documents. S’il n’y a pas d’enfants mineurs, de problèmes de santé ou d’invalidité, d’actifs étrangers ou de biens immobiliers à partager, il est tout à fait possible de procéder seul, même si une consultation avec un avocat est conseillée.
Mais lorsqu’il s’agit d’un divorce hostile, la situation change radicalement.
Quel divorce est conflictuel
D’un point de vue juridique, un divorce hostile n’est pas un divorce entaché d’une animosité émotionnelle importante (bien qu’une telle animosité complique évidemment les choses), mais plutôt une situation dans laquelle les conjoints qui divorcent ne parviennent pas à se mettre d’accord sur des questions importantes. Ces questions sont : la garde des enfants et la pension alimentaire, la pension alimentaire entre époux, le partage du patrimoine familial et le reste des biens de la famille. Parfois, la question de savoir qui vivra dans la résidence familiale pendant la procédure de divorce vient s’ajouter pour compliquer encore les choses. Des allégations de violence et de faute économique (dilapidation de l’argent familial en raison d’une dépendance au jeu ou à la drogue, par exemple) peuvent également être soulevées.
Le recours à un avocat dans le cadre d’un divorce hostile est indispensable. Les nuances des règles juridiques ne sont pas aussi évidentes qu’on pourrait le croire, et la question de l'”équité” obscurcit souvent le jugement. Traiter ces questions en se basant sur le bon sens, c’est prendre le risque d’être confronté à des conséquences très importantes. Allen Madelin Avocats travaille quotidiennement sur des questions juridiques liées au droit de la famille, y compris la garde des enfants. La première consultation est offerte pour $ 125. Pour plus de détails, veuillez nous contacter par téléphone : 1 514 904 4017 ou par courriel : [email protected].